Dans « Chems », le nouveau roman de Johann Zarca, le personnage principal tombe dans la spirale infernale des soirees ou se melangent sexe et drogues de synthese.
Un phenomene beaucoup connu des associations LGBTQ+ qui tirent la sonnette d’alarme depuis quelques annees.
Johann Zarca est un habitue des sujets a contre-courant. Roi de « l’underground » – ce qu’il appelle lui-meme les « endroits planques » -, il s’attaque a une tendance bien connu des milieux gay : le chemsex. Contradiction de « chemical sex » (en francais « sexe chimique ») votre nouveau terme definit des relations sexuelles sous emprise de drogues de synthese, censees decupler le joie. Une pratique dangereuse qu’il raconte dans son soir livre, sobrement intitule « Chems » (ed. Grasset).
ELLE. Votre roman decrit 1 univers du chemsex ancre dans le libertinage et la communaute gay. Qu’en est-il dans la realite ?
Johann Zarca. Le chemsex reste Par exemple souvent utilise pour pimenter des partouzes, qui peuvent durer quelques heures, mais pas que. Cela touche particulierement la communaute gay : c’est une contre-culture, 1 microcosme. Continue reading Chemsex : « On reste au debut d’un fleau qui rappelle l’epidemie du VIH »